Dans la «Biographie de Mario Calderón Tapia », Aminie Calderón Tapia, retrace la vie de son frère, journaliste, assassiné et disparu pendant la dictature civilo-militaire comme 31 autres journalistes. À travers les différents témoignages, on se rend compte que c'est toute une génération qui a été touchée.

Le livre de Julián Bastias Rebolledo « Le printemps du MIR » est un récit passionnant et intime. « Il ne s'agit pas d'un texte personnel qui relate les événements d'un individu particulier dans une situation spécifique, mais d'un écrit qui embrasse l'humanité et le cosmos. » Carmen Castillo.

« En lisant la Biographie de Mario Calderón Tapia, nous apprenons à connaître le jeune homme, le frère, le fils, le leader, l'étudiant, l'ami, le journaliste, le travailleur, le militant, le rêveur, l'idéaliste. Dans ces pages, le lecteur rencontrera toute une génération de rêveurs. Mais c'est aussi la confirmation de tous les événements que le pays a vécus au cours de ces années, qui appartiennent à un siècle, à une époque qui a été brisée et asservie par le coup d'État et la dictature qui a suivi. Non seulement le rêve a été mutilé, mais aussi les corps, brisant le tissu social, établissant un nouveau système politique et économique. » Marcelo Beltrand Opazo Escrito.

«Le "premier Mir", comme l'appelle l'auteur, contient des histoires décrivant les actions de ces militants, surtout du côté humain, avec leurs convictions et leurs contradictions, avec la passion de ceux qui rêvent d'un monde meilleur, et aussi avec leurs erreurs. du côté humain, avec leurs convictions et leurs contradictions, avec la passion de ceux qui rêvent d'un monde meilleur, et aussi avec leurs erreurs. De nombreuses anecdotes permettent de faire la lumière sur ces années d'effervescence, où l'on apprend surtout l'activité des universitaires de Concepción, mais aussi les luttes aux côtés des paysans et des Mapuches pour la récupération des terres à Cautín. Des histoires vécues, aux côtés de leaders emblématiques tels que Luciano Cruz, Bautista van Schouwen et Miguel Enríquez. Un vrai plaisir de lire ce livre, plein d'émotions et d'enseignements, avec un esprit critique, mais en même temps avec une grande affection pour ses camarades.» Victor de La Fuente